"Depuis plus de 30 ans, les Vikings de Laval-Nord forment les jeunes athlètes au football civil avec passion, rigueur et esprit d’équipe."
À propos des Vikings
Depuis plus de trente ans, notre association fait rayonner le football civil dans la région, forgeant des générations d’athlètes sous différentes bannières avant de devenir, au milieu des années 1970, les Vikings que l’on connaît aujourd’hui.
Notre engagement va bien au-delà du terrain : nous transmettons les valeurs fondamentales du sport — le respect, l’esprit d’équipe, la discipline et le dépassement de soi. À travers un encadrement de qualité assuré par des bénévoles passionnés et qualifiés, nous offrons à chaque jeune l’opportunité de grandir dans un environnement sain, stimulant et inclusif.
Les Vikings sont membres de Football Laval, de Football Québec et de la Ligue de Football Montréal-Métro. Nos équipes participent chaque saison à dix matchs réguliers à l’extérieur, ainsi qu’à une à quatre rencontres en séries éliminatoires, poursuivant chaque fois l’objectif de jouer avec cœur et intégrité.
Un voyage à travers les époques
Équipe Bantam 1968
Les tout début de l'organisation des Vikings.


Équipe Bantam 1970
L'époque des uniformes orange avec M. Ray Millar.
Équipe Pee-Wee 1973
L'équipe Pee-Wee 1973 des Vikings de Laval-Nord.


Équipe Pee-Wee 1974
L'édition 1974 des Pee-Wee Vikings.
Équipe Pee-Wee 1978
L'édition 1978 des Vikings Pee-Wee.

Hommage

Entraîneur et fondateur
Raymond Millar 1943 à 2016
Voici un hommage a Ray Millar d'un ancien joueur :
Jim Shaver
Je me souviens de tellement de choses à propos de Ray. J’ai aussi travaillé avec lui à la Plage et au Roi du Nord pendant 4 ans. Quand j’étais enfant, il nous montrait des films de football réalisés par Bud Wilkinson, l’entraîneur de l’Université d’Oklahoma.
C’étaient de vieux films en noir et blanc des années 60, sur les bases du jeu : les blocs, les plaqués… On les regardait projetés sur les murs blancs du sous-sol du chalet au Roi du Nord.
Ray et moi avions aussi le même vélo à 10 vitesses : un Peugeot blanc, cadre de 25 pouces, c’était un des meilleurs modèles à l’époque. On montait en haut de la côte sur Dufferin et on se laissait descendre pour voir qui irait le plus loin. Il était toujours partant pour s’amuser ou essayer quelque chose de nouveau.
Il me racontait plein d’histoires de Ste-Rose, des souvenirs de son enfance là-bas. Les héros du coin, pour lui, c’étaient de vrais héros. On passait aussi des heures sur le terrain de football à se lancer le ballon. Vers 13 ans, j’arrivais à botter plus loin que lui. À 16 ans, je pouvais envoyer le ballon à 60 verges !
Dans mon dernier match avec les Scorpions, je m’apprêtais à aller botter quand Ray m’a attrapé le bras et m’a dit : « Fais-en un bon. » Je l’ai fait. Le ballon a volé sur 73 verges et, avec le rebond, il a été mesuré à 95 verges. Il avait adoré ce botté.
J’ai tellement de souvenirs de lui… Je suis encore sous le choc.